Tiens ST Michel, parle nous de ton nom ?
J’aime beaucoup la Bretagne, l’archange y est très présent, dans le reste du territoire aussi d’ailleurs mais particulièrement là-bas.Au début du projet, je cherchais un nom qui sonne très « Frenchy » car j’avais beau chanter en anglais, j’étais un peu gêné par le poids de la culture anglo-saxonne sur la création française.
J’ai toujours été surpris par le fait qu’on a vraiment du mal en Françe, depuis les années 70’s à assumer notre propre culture, ce qui vient des USA ou d’ailleurs nous parait tellement plus « cool », c’est assez pénible je trouve, il était temps que je m’engage sur le chemin de ma culture, de ma propre histoire.
Comment s‘inscrit ton nouvel opus dans ta carrière déjà très réussie ?
Dans cette même histoire, celle de ma langue, de mon territoire, de mes racines.J’ai un peu de sang Brésilien par ma grand-mère maternelle aussi, il y a d’ailleurs un titre un peu Bossa-Nova sur le disque.